En 1999, dans une volonté d’apaiser les tensions à l’intérieur du pays, l’Etat algérien organise l’amnistie des terroristes cachés dans les maquis via une loi dite de « concorde civile ». Cette disposition permet le retour dans les villages d’hommes avec du sang sur les mains mais qui profitent de cette aubaine pour renoncer à la lutte […]