La Tête haute s’inscrit immédiatement dans la lignée de certains films qui, du Police de Pialat (1985) aux Bureaux de Dieux de Claire Simon (2008) entre autres exemples, s’articulent quasi entièrement autour de scènes de bureaux, dans les coulisses d’institutions ou d’assos qui font le ciment du vivre ensemble, dans lesquels défilent un public qui est le témoin d’un certain état de la société.
Acteurs : Benoît Magimel
[Sans laisser de traces] Rencontre avec le réalisateur Grégoire Vigneron
A la veille de la sortie de Sans laisser de traces, le réalisateur Grégoire Vigneron a répondu aux questions de quelques blogueurs diversement conquis par son film pour une table ronde plutôt décontractée. Le cinéaste semble satisfait de son travail et des premiers retours du public. Il a mis en scène le film qu’il voulait […]