Jusqu’alors, on ne connaissait Robin Williams que pour ses rôles facétieux, ses personnages de pitre dont il ne s’est jamais vraiment départi. Il n’y a guère que lorsqu’il enfile les habits de professeur, dans Le Cercle des poètes disparus (Peter Weir, 1989) ou Will Hunting (Gus Van Sant, 1997), que l’on a eu affaire à […]