Certes on n’en veut pas à Roland Emmerich de faire parler ces magdaléniens (nos ancêtres entre -17 000 et -9 000 avant J.C) en anglais. En revanche, son sens du spectacle est toujours aussi affligeant et pour cela on est beaucoup moins enclins à une quelconque mansuétude. Dès le premier quart d’heure, tout est plié. […]