Le début du film semble respecter la promesse faite par Andrew Dominik, celle d’un très grand cinéaste capable de tour-de-force comme L’Assassinat de Jesse James. Cinq ans plus tard, il revient avec Killing Them Softly, et le délais laisse augurer du soin apporté au film. Espoir déçu, Killing Them Soflty a tout du pétard mouillé. […]