La Tête haute s’inscrit immédiatement dans la lignée de certains films qui, du Police de Pialat (1985) aux Bureaux de Dieux de Claire Simon (2008) entre autres exemples, s’articulent quasi entièrement autour de scènes de bureaux, dans les coulisses d’institutions ou d’assos qui font le ciment du vivre ensemble, dans lesquels défilent un public qui est le témoin d’un certain état de la société.