Je comprends la déception de certains fan de Burton. C’est une sorte de virage, non pas à 180 mais plutôt à 90 degrés que ce Big Fish, par rapport à ses films plus sombres. Tim Burton conserve juste son goût pour le fantaisiste, les freaks, la poésie.
Ici il y a mille couleurs et Burton nous convie à un voyage extraordinaire, il nous invite à partager certain rêves.
C’est beau, touchant, malgré les lenteurs dues aux scènes inutiles et chiantes avec Marion Cotillard mais je préfère ça aux trop nombreuses sucreries qui nous viennent de par-delà l’Atlantique.
J’avoue avoir versé une larme à l’issue de ce film. Il m’a donc ému et ce parce que je le trouve sincère.
B. T
Big Fish – Note pour ce film :