Chronique des années dorées de la jeunesse marocaine sous Hassan II, le film n’a toujours pas bravé, de cet autre côté de la méditerranée, la censure. Soit la preuve que des progrès sont toujours à faire. Au-delà, Marock reste un film éminemment sympathique. On pense beaucoup à La fureur de vivre comme quoi la jeunesse possède cette fougue qui est universelle et intemporelle. Ainsi, rien de bien original mais des personnages sympathiques, une B.O vraiment extra (avec David Bowie, The Auteurs et Tahiti 80 notamment) et une dramaturgie suffisamment huilée pour que l’on passe un vrai bon moment. Morjana Alaoui est une belle révélation.B.T
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Marock – Note pour ce film :
Sortie française le 15 février 2006
